Départ. Minibus vers Yalova. C’est de là qu’on prend le ferry. Mais on va être plus malin ce coup-ci et prendre un ferry qui mène directement au centre d’Istanbul. Plus besoin de se perdre dans les banlieues et les gares routières.
Traversée sans histoires. La mer est presque noire.
Istanbul : trouver où dormir. On ne se prend pas le chou et on marche jusqu’au quartier à touristes et on opte pour une auberge de jeunesse de base. On partage la chambre avec deux singapouriens qui passent leur soirée sur leur ordis à jouer à je sais pas quoi.
C’est le dernier soir en Turquie et c’est l’heure des achats souvenirs. Mademoiselle arrive à me traîner dans un magasin de fringues. Elle y fait plein d’achats. Puis dans un magasin de lampes. Ces petites lampes de couleurs. Puis, un tour au bazar égyptien (ou du maïs ?) pour les sucreries. Trop touristique (et les vendeurs pas aimables qui vont avec). Malgré les couleurs et les odeurs, c’est pas agréable.
Un dernier plat à base de grillades et d’aubergines dans un petit resto où un chat se ballade gentiment entre les tables.
Mademoiselle liquide le peu de monnaie qui nous reste pour acheter des grenades (les fruits). C’est bon, on a tout ? Alors on va se coucher, demain l’avion est à 7h50.