Dans la quête sans cesse renouvelée d’avoir Эорница au téléphone, nous essayons de nouveau. Pas de bol, y a pas de réseaux. Enfin, pas pour tout le monde, les lycéens eux en ont, et, pas chiens, nous proposent d’utiliser leurs portables. Enfin, ça c’est quand le seul anglophone de la bande a fait son apparition et a expliqué le problème. Impressionnant le petit gars. Un anglais nickel, il nous énumère les diplômes qu’il a eu et son envie d’aller à Londres. Il a l’air sûr de lui et ses camarades sont béats d’admiration quand nous discutons en anglais. Nous le sollicitons sans cesse pour les ballades à faire le lendemain, le menu du refuge, et il répond avec le sourire. Il ira loin celui-là.
“Alors on danse” ? En tout cas, c’est ce que dit la télé que regardent les gardiens du refuge. Oui, c’est au fin fond de la Bulgarie que nous prenons connaissance des chansons françaises à la mode, à la mode y compris à l’étranger.